FABIEN CAYERE
Fabien Cayeré est un photographe plasticien et sculpteur, natif de la Côte Basque,
il travaille en tant qu’artiste pluridisciplinaire, à temps plein depuis une dizaine d’année, dans son atelier à Anglet. C’est lors de ses études en école d’art et de graphisme à l’ESAC de Pau, qu’il se passionne pour les procédés photographiques anciens (papier salé, cyanotype, transfert polaroid, photogramme, gravure, sérigraphie, tirage à l’argentique…).
La thématique surf reste dominante dans son travail que ça soit en sculpture comme en photo ce qui lui vaut d’être classé dans la catégorie surf artiste. Pourtant sa soif de recherche sa curiosité à expérimenter de nouveaux procédés l’ont amené à traiter d’autres thèmes (le paysage, le portrait avec ses gueules cassées, son travail avec des figurines miniatures, ses techniques mixtes sur la Californie…)
Depuis 2004 pour une grande partie de ses prises de vue Fabien fabrique ses propres appareils photos, des « camera obscura » fabriqués à partir de boites de conserve qu’il recharge avec du papier photo argentique. Les poses longues de 20 secondes pendant la prise de vue, laissent une grande part à l’accident et donne un rendu unique à chaque image. C’est au Roxy Jam à Biarritz en 2011 durant le championnat du monde de longboard qu’il s’invite au festival et tire le portrait au sténopé de Kassia Meador , Jennifer Smith, Kélia Moniz, Colin Whitebread, Coline Ménard, Pandora Decoster… Certains de ses tirages sont réalisés au moyen d’un ancien procédé photographique inventé à la fin du 19ème siècle et longtemps utilisé par le mouvement des pictorialistes : la gomme bichromatée.
Ce procédé long à maîtriser Fabien en possède aujourd’hui le secret des dosages, de son application et du développement. L’émulsion photosensible est étalée au pinceau et permet de tirer par contact des photos à l’aide d’un négatif de la taille du tirage sur différents supports comme le bois ou le papier. Le tirage est à chaque fois unique, créant une épreuve à mi-chemin entre la photo et la peinture.
Ses nombreux séjours en Afrique de l’Ouest l’ont conduit dans les fonderies artisanales de Ouagadougou ou il s’est initié à la technique de la cire perdue.
Dans ses sculptures en bronze représentant des surfeurs Fabien aime à chercher les postures harmonieuses du surfer et de sa planche.
il travaille en tant qu’artiste pluridisciplinaire, à temps plein depuis une dizaine d’année, dans son atelier à Anglet. C’est lors de ses études en école d’art et de graphisme à l’ESAC de Pau, qu’il se passionne pour les procédés photographiques anciens (papier salé, cyanotype, transfert polaroid, photogramme, gravure, sérigraphie, tirage à l’argentique…).
La thématique surf reste dominante dans son travail que ça soit en sculpture comme en photo ce qui lui vaut d’être classé dans la catégorie surf artiste. Pourtant sa soif de recherche sa curiosité à expérimenter de nouveaux procédés l’ont amené à traiter d’autres thèmes (le paysage, le portrait avec ses gueules cassées, son travail avec des figurines miniatures, ses techniques mixtes sur la Californie…)
Depuis 2004 pour une grande partie de ses prises de vue Fabien fabrique ses propres appareils photos, des « camera obscura » fabriqués à partir de boites de conserve qu’il recharge avec du papier photo argentique. Les poses longues de 20 secondes pendant la prise de vue, laissent une grande part à l’accident et donne un rendu unique à chaque image. C’est au Roxy Jam à Biarritz en 2011 durant le championnat du monde de longboard qu’il s’invite au festival et tire le portrait au sténopé de Kassia Meador , Jennifer Smith, Kélia Moniz, Colin Whitebread, Coline Ménard, Pandora Decoster… Certains de ses tirages sont réalisés au moyen d’un ancien procédé photographique inventé à la fin du 19ème siècle et longtemps utilisé par le mouvement des pictorialistes : la gomme bichromatée.
Ce procédé long à maîtriser Fabien en possède aujourd’hui le secret des dosages, de son application et du développement. L’émulsion photosensible est étalée au pinceau et permet de tirer par contact des photos à l’aide d’un négatif de la taille du tirage sur différents supports comme le bois ou le papier. Le tirage est à chaque fois unique, créant une épreuve à mi-chemin entre la photo et la peinture.
Ses nombreux séjours en Afrique de l’Ouest l’ont conduit dans les fonderies artisanales de Ouagadougou ou il s’est initié à la technique de la cire perdue.
Dans ses sculptures en bronze représentant des surfeurs Fabien aime à chercher les postures harmonieuses du surfer et de sa planche.
